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En quoi les paiements digitaux révolutionnent les pratiques d’achat ? Et à quelles conditions peuvent-ils également réduire l’empreinte carbone de l’utilisateur et du secteur financier ? Réponses avec Alain Lacour, président de Lyra.
Selon vous, comment les wallets digitaux comme Apple Pay ou Google Wallet révolutionnent-ils l’expérience d’achat des consommateurs ?
Pour les consommateurs, les avantages sont évidents. Sur internet, ils n’ont plus besoin de saisir leur carte. Et en magasin, il leur suffit d’approcher leur téléphone du terminal de paiement. L’autre avantage pour les consommateurs concerne les procédures de sécurité puisque, en e-commerce, l’utilisation de ce moyen de paiement permet d’éviter l’étape de l’authentification 3D Secure.
Comment envisagez-vous l’avenir des paiements dans les dix prochaines années?
La carte continuera à exister car tous les paiements n’auront pas fait leur transition vers le “sans carte physique”. Mais le virement instantané deviendra l’usage le plus courant.
En quoi l’abandon des cartes plastiques peut-il contribuer à réduire l’empreinte écologique du secteur financier ?
On comprend tout de suite les avantages écologiques de l’abandon de la carte physique : moins de plastique, moins de circuits imprimés, moins de bandes magnétiques… Mais pour que la réduction de l’empreinte soit réelle, encore faut-il que la consommation des serveurs, qui demandent plus de chiffrements et plus de données, ne vienne pas dépasser ces gains physiquement visibles. C’est le chemin sur lequel Lyra s’est engagé, en optimisant toutes ses ressources informatiques et en accompagnant les commerçants pour les aider à faire de meilleures intégrations techniques.